Pour qui on aimerait travailler #3 Le Foot spectacle

Publié le : 15 janvier 2021

La FFF a été créée en 1919. 100 ans après, chez Breizhtorm, on aimerait collaborer avec la FFFS : La Fédération Française de Foot Spectacle.

Elle n’existe pas ? Inventons-là !

Pourquoi ?

Chez Breizhtorm, on soutient les Rouge et Noir. On regarde du bon football, mais on reste parfois sur sa faim. Les matches de 90 minutes sans un seul but, les rencontres pauvres en actions, les performances physiques concentrées sur la rapidité et la force plutôt que sur l’agilité, on aimerait parfois en voir plus. Après tout, avec les sommes en jeu, est-ce qu’on a pas le droit de voir plus de spectacle ?

Le sport et le spectacle

Le spectacle est presque né en même temps que le sport. La notion de compétition est d’ailleurs aujourd’hui largement associée au concept de show dans bien des événements sportifs. Les grandes rencontres sont des célébrations souvent ponctuées de performances artistiques. Le superbowl ou la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques en sont de bons exemples. Plus récemment, le sport et le spectacle ont même fusionné pour devenir des manifestations dédiées : on pense facilement aux Harlem Globe Trotters qui ont propulsé le Basketball acrobatique au rang d’art.

Mais avant ça, les gladiateurs s’affrontaient dans des arènes pour le plaisir du public, et nombreux de ces combats étaient avant tout chorégraphiés. Les pratiquants du Catch sont des athlètes ET des artistes, jouant sur une scène comme au théâtre. Et le 7e art s’est emparé du concept, preuve que le sport-spectacle à sa place au panthéon des arts. Avec Rollerball de John Mac Tiernan, Mad Max le dôme du tonnerre ou encore Tron, le cinéma d’anticipation à vite su répondre aux attentes du public. Le futur, c’est maintenant.

Nos idées pour la FFFS

En assumant sa part de spectacle, et en appuyant dessus au maximum, le foot trouverait un nouveau souffle et un nouveau public. La performance artistique attirerait des profils différents pour créer des équipes hétéroclites, générant ainsi plus d’inclusivité dans le sport.

On parierait sur des prouesses et plus sur des scores. Le nombre de buts serait aussi important que le style ou les figures acrobatiques dont un joueur ou une joueuse nous gratifierait pendant le match. Les tactiques deviendraient des chorégraphies, les coach des producteurs, et les sponsors auraient plus de place que jamais. Plus besoin de feindre une terrible douleur pour que la caméra zoomant sur la chaussette capte le logo du sponsor. Mieux ! Donnons aussi une note pour le jeu d’acteur !